Nous avions vu quelques semaines plus tôt, un rondo vivace, de ce même compositeur. Cette fois, c’est du sérieux. Un sonatine, avec ses trois mouvements.
C’est une bonne introduction avant je jouer la fameuse sonate de W. A. Mozart k.545 qui clôture ce recueil de pièces. En effet le thème d’ouverture est assez ressemblant et nous retrouvons des envolés de doubles croches à la M.D.
Cela veut aussi dire que nous touchons bientôt à la fin !
Mais avant ! Au travail !
Nous continuons cette sonatine de Diabelli avec son deuxième mouvement : le scherzo.
Le pièce est assez courte, environ une minute. Mais ! Attention les yeux et les mains. Il va y avoir du « par dessus-dessous », c’est-à-dire des croisements de mains, la main droite (M.D.) va faire du chemin, je vous le dis !
Bref, cette pièce est un concentré de difficultés.
Voyons çà tout de suite.
Voici la quatrième et dernière pièce de Schumann de ce recueil !
Enfin ! Me direz vous ? Vous n’avez pas tord. C’est un compositeur qui a l’art de faire dans le compliqué. D’ailleurs, je me répète, je sais, cette pièce est encore une preuve du grand n’importe quoi de ce recueil. Il y a carrément un faute ! J’ai même scanné la partition pour que vous puissiez voir çà par vous même.
Suite et fin de notre Sonatine de Clementi. C’est le morceau le plus simple des trois. D’ailleurs il devrait vous remémorer un morceau antérieur du même compositeur, le rondo. C’est normal me direz vous ! C’est un rondo aussi ! 😉
Nous pouvons donc tranquillement nous dirigez vers notre œuvre sans crainte.
Nous y sommes ! La fameuse « écossaise » dont je vous parle depuis deux semaines. Pour ceux qui travaillent les morceaux dans l’ordre, nous redescendons grandement de niveau. La pièce est très courte et mis à part quelques tenues de notes, c’est très simple.
Profitez-en ! Çà ne durera pas !
Continuons dans la démesure ! Déjà que la pièce précédente était à côté de la plaque concernant le classement, là nous culminons par la durée (2’59 » selon mon enregistrement) et la difficulté. Mais je n’ai pas le choix.
Pensons que la prochaine pièce sera l’Écossaise de Hummel.
Voici une pièce totalement à côté de la plaque au niveau de son classement. Le saut est magistral par rapport aux pièces suivantes qui redescendent en difficulté. Je fais référence à l’Ecossaise de Hummel, ou la Sonatine de Clementi par exemple.
Heureusement qu’il y a la mention : « Morceaux choisis, doigtés et classés progressivement »…
Mais bon ! Passons cette bizarrerie.
Clementi est un nom qui doit vous être familier. 😉
Voici un pièce toute mignonne, simple (c’est relatif) qui compte tout de même trois pages ! Ce sera le morceau le plus long que nous connaitrons pour l’instant. Elle dure 1m44s pour mon enregistrement.