Voici la quatrième et dernière pièce de Schumann de ce recueil !
Enfin ! Me direz vous ? Vous n’avez pas tord. C’est un compositeur qui a l’art de faire dans le compliqué. D’ailleurs, je me répète, je sais, cette pièce est encore une preuve du grand n’importe quoi de ce recueil. Il y a carrément un faute ! J’ai même scanné la partition pour que vous puissiez voir çà par vous même.