Bonjour à tous !
Attention, cet article n’est pas un doublon, nous passons juste au 3ème mouvement de la sonate opus 36 n°1 de Clementi, c’est à dire le rondo. Cette pièce est intéressante pianistiquement, même si à l’oreille je ne l’écouterais pas tous les jours. A vous de voir !
Comme d’habitude vous trouverez la partition, la vidéo et quelques explications.
Plus de nouvelle depuis un long moment ? Oui, effectivement. Beaucoup de concerts, de projets et de cours. Mais ! Je vous prépare deux surprises qui devraient vous plaire.
Cependant, aujourd’hui, c’est la suite et fin de notre sonate en Ut Majeur de Kuhlau. Contrairement au deuxième mouvement, celui-ci est beaucoup plus long. Il dure presque 3 minutes !
Il y a pas mal de travail, et pour tout vous dire, beaucoup de travail ingrat. La pièce n’est vraiment pas extraordinaire. Mais bon ! Il faut y passer.
Reprenons le chemin des classiques favoris pour piano. Voici un tout petit adante de quelques mesures qui remplira la fonction de deuxième mouvement dans la sonatine de Kuhlau.
Il ne vous posera pas beaucoup de problème, mis à part peut-être un passage.
Reposez-vous un peu maintenant, le dernier mouvement n’est pas du tout dans le même ton.
Allons-y !
Nous avions vu quelques semaines plus tôt, un rondo vivace, de ce même compositeur. Cette fois, c’est du sérieux. Un sonatine, avec ses trois mouvements.
C’est une bonne introduction avant je jouer la fameuse sonate de W. A. Mozart k.545 qui clôture ce recueil de pièces. En effet le thème d’ouverture est assez ressemblant et nous retrouvons des envolés de doubles croches à la M.D.
Cela veut aussi dire que nous touchons bientôt à la fin !
Mais avant ! Au travail !
Dernier mouvement de cette sonatine de Diabelli. Alors là, préparez-vous, il y a quand même pas mal de boulot à abattre. Le morceau dure tout de même 2’30. Il résume pas mal tout ce que l’on a vu précédemment.
Note de basse tenue à la M.G. avec accompagnement en plus
M.D. mélodique et légère par les piquées.
Si vous êtes prêt, on y va !
Nous continuons cette sonatine de Diabelli avec son deuxième mouvement : le scherzo.
Le pièce est assez courte, environ une minute. Mais ! Attention les yeux et les mains. Il va y avoir du « par dessus-dessous », c’est-à-dire des croisements de mains, la main droite (M.D.) va faire du chemin, je vous le dis !
Bref, cette pièce est un concentré de difficultés.
Voyons çà tout de suite.
Encore un nouveau compositeur ! Anton Diabelli. Alors j’ai tout de suite une question pour vous : A votre avis, de quelle nationalité est-il ?
Italien ? J’étais sûr que vous diriez çà. Ben non ! Pas du tout. C’est un autrichien, né le 6 septembre 1781 à Salzbourg et mort le 7 avril 1858 à Vienne, pianiste, compositeur, éditeur, pédagogue et élève de Michael Haydn.
Vous remarquerez aussi un changement du son des enregistrements. N’hésitez à me donner votre avis.
Je trouve qu’il est meilleur.
Suite et fin de notre Sonatine de Clementi. C’est le morceau le plus simple des trois. D’ailleurs il devrait vous remémorer un morceau antérieur du même compositeur, le rondo. C’est normal me direz vous ! C’est un rondo aussi ! 😉
Nous pouvons donc tranquillement nous dirigez vers notre œuvre sans crainte.
Suite de notre sonatine de Clementi. Un andante très expressif qu’il faudra soigner ! C’est une pièce courte mais qui ne manque pas de caractère.
Travail d’arpèges, de tierces et plein d’autres détails.
Que du bonheur en somme ! 😀
Une vraie sonatine ! En trois parties et tout et tout. Ce n’est plus un rêve mais une réalité. Voici donc la première partie, un allegro qui me rappelle (à vous aussi sûrement) bon nombre de souvenirs. C’est une pièce très classique et qui marque bien un progrès pour les gammes, les tierces descendantes etc. Un bon moment en perspective !